Le mal de dos, une menace à prendre au sérieux pour sa chronicité

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i93371- Le mal de dos, une menace à prendre au sérieux pour sa chronicité

Huit Français sur dix souffrent de problèmes de dos ce qui en fait la première cause d’invalidité chez les moins de 45 ans. Si le mal de dos a longtemps été assimilé aux maux du grand âge, de nos jours il touche toute la population. Une problématique inquiétante qui mérite d’être prise au sérieux et anticipée.

Qu’est-ce que la chronicité ?

Dans 90 % des cas, le mal de dos appelé plus communément « lombalgie commune » guérit en moins de 4 à 6 semaines. Mais il peut arriver que cela perdure. Si la douleur dépasse 12 semaines, le mal de dos devient « chronique ». Il risque d’altérer la qualité de vie de celui qui en souffre et favoriser sa désinsertion sociale. Cela nécessite alors une prise en charge complexe. C’est un véritable enjeu de santé publique.

Le meilleur moyen d’éviter ce passage à la chronicité, c’est d’agir en amont, dès la phase aiguë, en repérant les facteurs psychologiques et socioprofessionnels associés à un risque accru de passage à la chronicité.

Un mal qui touche les sujets de plus en plus jeunes

Si pendant de nombreuses années le mal de dos résultait d’un travail manuel fatiguant, il apparait aujourd’hui sous de nouvelles formes et émerge avec notre nouveau mode de vie. Travail sédentaire, transports, utilisation de tablettes et smartphones sur de longues amplitudes horaires mais aussi surpoids sont de plus en plus pointés du doigt en tant que facteurs déclencheurs de douleurs dorsales causés par les contractions musculaires … Si pour certains, la douleur reste ponctuelle, pour d’autres, elle peut impacter le quotidien de manière dramatique allant de quelques jours d’immobilisation à l’arrêt de travail longue durée.

  • Une connexion non sans effets

Dans notre société toujours plus connectée, nous sommes nombreux à consulter nos smartphones ou travailler sur un ordinateur portable. Sans forcément s’en rendre compte, nous sommes de plus en plus penchés en avant. Anodin dans un premier temps, c’est la répétition du mouvement qui va finir par déclencher un mal de dos. La raison ? Le déséquilibre de notre nuque et son manque d’alignement à notre colonne vertébrale. Cette mauvaise posture va sursolliciter le haut de notre colonne vertébrale et déclencher ce que l’on appelle une cervicalgie. Si elle n’est pas traitée dès ces prémisses, elle risque d’impacter l’ensemble de la colonne et d’installer une douleur qui sur le long terme deviendra chronique.

  • La sédentarité

Le télétravail, la connexion à distance et autres systèmes qui facilitent notre quotidien nous amènent à être moins mobiles que nos aïeux. Ce manque d’activité physique influe sur notre vitalité musculaire. Moins dynamiques, nos muscles dorsaux, qui ont pour mission de soutenir notre dos et favoriser notre stabilité se ramollissent, notre dos est alors moins bien maintenu au point de développer une douleur dorsale.

  • Une augmentation du surpoids

L’excès de poids fragilise la colonne vertébrale car il exerce une pression plus forte sur celle-ci pouvant notamment comprimer les disques intervertébraux. Une étude révèle notamment qu’un indice de masse corporelle supérieure à 25 augmente le risque de lombalgie et de dégénérescence du disque intervertébral. Le surpoids touchant également les individus jeunes, le mal de dos les touche de plus en plus.

Une menace sérieuse qui nécessite de revoir nos habitudes de vie

On l’aura compris, le mal de dos n’est pas une fatalité à condition de le prendre au sérieux. Que l’on soit jeune ou plus âgé, il peut apparaitre sous différentes formes allant de la simple crise passagère à la douleur chronique beaucoup plus contraignante. Les contractions musculaires exercées sur notre dos sont non seulement douloureuses mais peuvent s’installer dans le temps. La douleur dorsale jusque-là passagère, risque alors de devenir chronique et nécessiter un traitement adapté pour gérer cette douleur et la prévenir via un myorelaxant par exemple.

Pour s’en préserver il est nécessaire de prendre conscience que le dos est le point névralgique de notre système, notre colonne vertébrale étant le pilier de notre squelette. D’elle dépend notre équilibre et notre mobilité. En prendre soin c’est préserver notre bien-être, adopter dès le plus jeune âge les bons réflexes est de loin la meilleure recette.

Voici 3 conseils simples et accessibles à tous pour prendre soin de son dos : 

  • Rectifier sa posture tout au long de la journée : s’étirer, adapter son poste de travail, se tenir droit sont autant de petits réflexes qui auront un impact positif sur notre dos.
  • Pratiquer une activité sportive : faire du sport régulièrement est ultra bénéfique. L’activité physique permet d’éliminer les mauvaises toxines, d’entretenir sa masse musculaire et favoriser par la même occasion une bonne circulation sanguine.
  • Manger sainement : pour éviter d’en avoir « plein le dos », maintenir un poids de forme est essentiel pour le bon équilibre. Chaque kilo en surplus à un impact sur le dos et par prolongation les genoux. Il est donc important de ne pas les sursolliciter.

L’équipe PasseportSante.net

Publi-éditorial

 

 

Au cours de votre vie, vous avez 84% de probabilité d’être touché par le mal de dos !1

Souvent considéré comme le mal du siècle, il peut très vite s’avérer être très gênant : mouvements douloureux, peur de se faire mal, inactivité physique, perte de l’habitude de bouger, faiblesse des muscles du dos2.

Mais alors, comment venir à bout du mal de dos ? 

Une solution existe : Atépadène est un médicament, myorelaxant d’action directe, qui permet de traiter le mal de dos. Il est indiqué dans le traitement d’appoint des dorsalgies primitives.   

Atépadène est composé d’ATP*. L’ATP est une molécule naturellement présente dans votre corps. L’ATP est une source d’énergie considérable qui intervient au cours du mécanisme de contraction/décontraction du muscle.

Atépadène est disponible en conditionnement de 30 ou 60 gélules. La posologie usuelle est de 2 à 3 gélules par jour.  

Indication : Traitement d’appoint des dorsalgies primitives

Demandez conseil à votre pharmacien – Lire attentivement la notice – Si les symptômes persistent, consultez votre médecin.

Commercialisé par le Laboratoire X.O.

Disponible exclusivement en pharmacie. 

* Adénosine Triphosphate disodique trihydraté 

 

(1) L’Assurance Maladie. https://www.ameli.fr/ paris/medecin/sante-prevention/pathologies/ lombalgies/enjeu-sante-publique (site consulté le 02/07/19)
(2) L’Assurance Maladie. Programme de sensibilisation sur la lombalgie. Dossier de presse, nov. 2017.
 

Ref interne – PU_ATEP_02-112019
N° de visa – 19/11/60453083/GP/001

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